samedi 17 novembre 2012

Est-ce de l'or ?

Lors d'un récent passage chez Nespresso, on m'a présenté gentiment une offre très limitée. Il s'agit de l'un des trois meilleurs café du monde, le Hawaii Kona.


Excusez la qualité de la photo, c'est artisanal.

Comme je suis de bonne composition, j'ai laissé le vendeur faire son discours. Puis j'ai exquissé un léger sourire qu'il l'a déstabilisé. C'est toujours amusant de jouer avec ces vendeurs. Mais le fond de la question n'est pas là.

J'ai trouvé la démarche de Nespresso un peu inhabituelle, bien que s'inscrivant dans leur univers.
Ici Nespresso sort surtout de son modèle dans le coût de la capsule quasiment 4 fois plus cher qu'une capsule habituelle.

Comme le mentionne Arnaud Deschamps, directeur général de Nespresso France, "la marque a pour vocation la qualité et l'excellence". Et c'est dans ce cadre qu'est vendu l'un des meilleurs cafés du monde.
Pour mémoire, Kona est un café rare qui se trouve aux alentours des 100€ le kg. Mais les puristes (du café) y verront certainement un affront. Tant mieux car ils ne sont par la cible principale de Nespresso.

En tout cas, c'est un bel emballage et une belle communication autour d'un produit peu commun dans les chaumières.

What else ?

mardi 13 novembre 2012

Aujourd'hui, j'ai découvert La Mangoune

Un passage à Nantes m'a permis de découvrir un restaurant "à la française".

En effet l'enseigne la Mangoune a ouvert en juin une brasserie auvergnate sur Nantes.

Qu'est-ce que la Mangoune ? C'est une franchise sur le concept de l'Auvergne. Ma première réaction a été "Oh mon dieu !". Comment un truc où on ne bouffe que de la potée pourrait marcher. Mais je me suis tout de même laissé guider.

Quelle surprise ! En effet la potée fait parti des plat à côté de l'aligot et autres plat de terroir. Mais ces plats ont été revisités et remis au goût du jour, mettant le côté franchouillard un peu de côté.

Il est possible d'y manger des burgers

Le décor est lui par contre empreint du terroir de l'Auvergne. On est loin du boui boui avec les odeurs qui surchargent les narines empêchant de tout apprécier à ça juste valeur. Non le climat est terroir mais très sympathique.

Mais à force de me lire, vous connaissez mon attachement à l'accueil et au traitement du client. C'est certainement la chose la plus importante dans un commerce.

Et bien là, je n'ai pas été déçu. Pour les autres Mangoune, je ne peux pas juger. Mais les personnes qui nous ont reçu, l'ont fait avec beaucoup de délicatesse. On voit qu'ils débutent dans le commerce, mais ils sont très attentionnés.

Même si l'enseigne est une chaine (8 brasseries sur la France), on ne sent pas le poid du gros commerce qui va tout défoncer. Non ce sont des commerçants sympathiques qui nous ont accueilli dans un cadre original avec une cuisine agréable et bien quantifiée.

D'après Amélie de Penser Réver Créer (sa page FaceBook) : "Avec des origines auvergnates je ne pouvais pas passer à côté de la Mangoune pendant notre week-end familial à Nantes. Et bien j’ai tout simplement voyagé en quelques heures. Le décor est vraiment sublime et enrichit de multitudes de détails ayant leurs significations et très gentiment expliqués par le directeur en personne. Un accueil et une équipe très professionnels. Les plats proposés sont divers et variés et sont bien plus que le simple reflet de l’auvergne « bouzeuse » et « paysanne ». Et cela change un peu des pizzas, crêpes et brasserie parisienne classiques. On y mange bien, on s’y sent bien, et pour un coût raisonnable. Les enfants ont apprécié l’univers de Barnabé mis en scène et tous les élèments décoratifs de la ferme. Toutes les tranches d’âge trouveront leur compte : des burgers retravaillés, des farinettes et bugnas (crêpes et pizzas) revisités, des salades et des plats typiques. A tester absolument si vous êtes dans les parages et que vous cherchez quelque chose de différent !"
Et oui, je vous ai trouvé dans mon réseau une personne qui y est allé, comme quoi c'est bon.

Je ne gagne pas d'argent à cette promotion, mais quand je découvre quelque chose qui me plaît, j'en parle. Alors n'hésitez pas à les découvrir, par leur page Facebook par exemple ou directement à la brasserie.





vendredi 9 novembre 2012

Le poker en France

Alors que la légalisation du jeu en ligne en France sonnait comme le Graal pour certain, le constat actuel est plutôt morose.

Le poker en berne

L'un des plus gros défi du poker aura été la rentabilité.
La rentabilité des rooms pour commencer. Les rooms, c'est le terme usuel pour désigner les opérateurs de poker. Ces opérateurs se sont engouffrés vaille-que-vaille sans une réelle visibilité. Ils ont commencé par se commissionné un peu plus dès le départ. Et oui le joueur français n'était plus accepté sur les rooms étrangères et n'avait donc plus le choix pour jouer. La réaction des joueurs aura été rapide avec des boycotts et des "sit-out" pour bloquer les tables. Pétitions, regroupement de joueur en association... Les rooms ont dû reculer et revoir leurs objectifs à la baisse. S'en suivra plusieurs fermetures...
La rentabilité de l'Etat. Alors là on ne manque pas d'imagination. Taxe sur les jeux, taxe sur le revenu des gros joueurs et d'autres joyeusetés sont encore à venir. L'Etat a besoin d'argent et les joueurs sont les premiers visés. Nos élus détournent une passion qu'il était illégal de pratiquer pour combler les déficits budgétaires sans permettre aux addicts de réellement se protéger. L'électeur à peur.
La rentabilité du joueur... Les gros joueurs ont émigré vers d'autres paradis. Les taxes et les commissions baissent les espérances de gain, le nombre de joueurs diminue à mesure que le temps avance et les fonds s'envolent vers d'autres distractions. En rergardant quelques forum et quelques blogs, on voit que le moral tombe au plus bas.

Le manque d'investissement

"Il est gentil celui là, on a investit en masse." Oui il y a des réalités qui ne trompent cependant pas. Ce qui s'est développé en ligne, c'est le poker à papa. En fait, c'est celui qui se pratique le plus couramment. Hors ce qui a fait le succès du poker du temps de l'illégalité, c'est aussi l'innovation.
Badugi, Omaha, Home Game, Dealer choice, Rush... sont autant de variantes et d'innovations qui ont envahi le poker poker et ont fait son succès. Parce que les room avaient toujours quelques choses de nouveau à proposer, elle renouvelaient sans cesse l'attrait du joueur. Alors où est passé cet investissement ? Nul part. La grande faute revient à l'Etat qui encadre trop le jeu pour permettre de grandes innovations.
Mais les marchés règlementés sont aussi pénétrés par des sociétés internationales qui ne souhaitent pas investir si ça ne touche pas le plus grand nombre. 
Du coup, la créativité passe dans la publicité. Et si les publicités sont belles voire originales, elles me font peurs. Elles passent à une heure de grande écoute et cible des joueurs avertis... OMG

Un espoir dans ce tableau noir ?

Certainement. Il repassera par une remotivation de la communauté de joueur qui n'est pas si malade en fait. Elle s'est recentrée.
L'espoir est aussi de voir des rooms se remettrent en question en testant de nouveau modèles économiques car l'espoir d'empire poker nationaux s'est construit sur des bases trop anciennes. Plusieurs tentatives ont eu lieu mais le manque de rentabilité n'a pas poussé les joueurs à y adhérer.
Alors le salut du poker est peut-être dans les nouveaux modes de consommations. Il faut peut-être aller chercher d'autres personnes pour les transformer en joueurs et ainsi créer de nouveau profil de joueur. Aujourd'hui prendre 5 minutes pour jouer n'est pas possible.
Les associations de joueurs tels que les clubs de poker sont aussi un espoir non négligeable pour les rooms car elles représentent un vivier et les clubs sont demandeurs de jeu en ligne. Mais surtout ce regroupement de joueur fait naître des fédérations qui vont pouvoir réorganiser le pouvoir.
Car le plus gros problème aujourd'hui est un manque de reconnaissance et l'imposition de règle par l'Etat qui sont appliquées par les rooms sans qu'à aucun moment le joueur ne puisse s'exprimer. En changeant le rapport de force et le niveau d'écoute, beaucoup de chose pourrait changé et mener à une relation donnant-donnant, puis gagnant-gagnant...

lundi 5 novembre 2012

Le commerce local

Ma préoccupation pour les prochains mois va concerner les commerces de proximité.
En effet, suite à plusieurs demandes je vais devoir travailler sur ce merveilleux secteur qu'est le commerce de proximité notamment sur le Val d'Oise.


Même si mes clients sont sur différents types de biens et prestations, c'est avec le coeur léger que j'ai commencé l'observation de ces activités. Le coeur léger mais le cerveau aussi. Car il est important pour moi de garder l'esprit ouvert concernant les commerces.


La première chose à faire a donc été de me rendre dans des commerces, d'y "flâner" avec l'oeil sur les habitudes des commerçants, les étalages, leur intégration dans le paysage local et plein d'autres choses. J'en suis venu à des conclusions qui m'ont beaucoup surpris pour certaines (moins pour d'autres :-) ). Il est évident que si on est caviste, il est intéressant de s'installer proche d'un fromager, d'une vendeur de produit locaux... Cette proximité favorise l'achat impulsif et/ou l'achat regroupé concurrençant ainsi les GMS. Mais être proche d'un passage piéton est plus ou moins bien en fonction de l'activité. Avoir une boutique de prêt-à-porter en face d'un passage piéton favoriserait la fréquentation du magasin.Ce dernier élément n'était pas forcément évident pour moi. Le manque de littérature à ce sujet ne favorise pas non plus mon "étude".


Je suis donc à la recherche de données sur les conditions d'un emplacement, sur les chiffre à prendre en compte et sur le moyen de les obtenir. Pour le moment, j'ai les données suivantes :

InformationSource
Fréquentation de pas de porteMairie
Revenu moyenImpot.gouv.fr
Consommation des ménagesInsee
Zone de chalandiseInsee


Je completerai le tableau au fur et à mesure en espérant pouvoir aider d'autres personnes.


N'hésitez pas, je suis toujours open;

mercredi 5 septembre 2012

L'univers du running

Je me remet au running. A cette occasion, j'en profite pour renouveler mon matériel.
A cette occasion, j'ai fait un tour sur le net pour trouver des conseils sur mes chaussures.
Le meilleur conseil que j'ai reçu est d'aller dans une boutique. Attention, pas dans une GSS. Non dans une vrai boutique. On m'a donné plusieurs adresses que j'ai essayé aujourd'hui.
Il faut du temps pour ce genre de choses, alors si vous avez envie de faire de même, prenez votre journée et une bonne carte bleu.

Il se trouve que toutes les boutiques visitées méritent leurs bonnes réputations. Et j'avoue être sensible à ce service, mais il manquait un petit quelque chose.

Premièrement, on m'a fait essayer plusieurs paires. Quand je dis essayer, il a fallu que j'aille dans la rue pour les essayer. Et ça, ça fait une énorme différence, car il a fallu que je les essaie de plusieurs manières dans plusieurs conditions, etc.
Ensuite on m'a vraiment questionné sur mon utilisation pour me proposer les meilleurs modèles.
Enfin, on m'a écouté. C'est la base de la relation client, l'écoute.

Mais qu'est-ce qu'il me manquait ? Il me manquait de ne pas être jugé. Je suis ... comment dire ? enrobé, en surpoid. Et visiblement, d'autres clients n'ont pas couru autant que moi. Était-ce un bizutage ?
De plus, les boutiques ne m'ont pas présenté exactement les mêmes modèles. On est dans un domaine demandant beaucoup de technicité. Nous sommes dans un monde de technologie. Un simple Ipad permettrait de justifier un choix par rapport à un autre. Or trois boutiques que j'ai vu avaient les mêmes modèles mais on ne m'a pas présenté les mêmes.
De plus, j'ai pu repartir à chaque fois sans qu'on me laisse une trace de mon passage, du genre vous avez essayé tel ou tel modèle, ou bien une liste d'articles tirée rapidement sur une imprimante ou je ne sais quoi d'autre.

Je m'étonne toujours de pouvoir faire un passage dans une boutique spécialisée (sport, prêt-à-porté, automobile...) sans rien acheter et sans qu'on me demande quoique ce soit. A quoi ça sert d'avoir un commerce spécialisé si on ne sait pas pourquoi les gens viennent et repartent avec ou sans rien ?
Je pense qu'aujourd'hui, c'est ce point sur lequel les commerces doivent se focaliser pour fidéliser leur clientèle, améliorer leur réputation et recruter de nouveaux clients.
Les outils sont nombreux et parfois vraiment simple et sans investissement.
Qu'en pensez-vous ?

lundi 3 septembre 2012

C'est la rentrée...

Pas celle des classes, non la rentrée du blog. Je me suis reposé et je suis en forme pour pleins de billet, de partage d'humeur et de contenu.

La première nouvelle est que j'ai créé mon auto-entreprise dans ce qui semble ne pas être la meilleure conjoncture (pour ce statut).

Enfin content de vous retrouver et à tout de suite pour un nouveau billet.

jeudi 2 août 2012

De la relation client ?

J'ai eu ces derniers mois quelques mots avec Bouygues Télécom au sujet de mon téléphone qui passait son temps en SAV.
Etant donné que les procédures changeaient régulièrement, j'ai décidé de me passer de leurs services. Car étant client forfait normal, je pensais pouvoir m'appuyer sur le service client pour répondre à mes problèmes, ou du moins me faire des propositions de solution.

Il est clair que lorsque j'ai vu que Bouygues perdait son statut de n°1 de la relation client, j'avais été surpris. Mais suite à mes derniers mois d'abonnement, ça me parait maintenant évident.

Je pensais en avoir donc fini avec eux. Je leur avais dit adieux, non pas sans une certaine tristesse. C'est que j'y tenais à mon opérateur. Pour clore notre relation, ils m'ont donc envoyé un questionnaire par Internet via un institut de sondage. J'y ai répondu, honnêtement mais sans illusion. "Souhaitez-vous que nous tranmettions à BT le résultat ?" Oui bien sur que j'ai répondu. Je n'avais donc pas tant la rancune tenace. Car même si BT est rayé de ma liste définitivement, je reste sensible à l'aspect relation client de sa démarche. Sans illusion ai-je écrit, car il s'est passé ce que j'attendais... rien.

Puis me voici parti en congé avec ma petite famille. Un numéro inconnu m'appelle, je répond. Second institut de sondage qui enquête pour BT sur les raison de la résiliation. Je répond tout aussi honnêtement. La personne est aimable au téléphone et je passe consciemment 20 minutes à répondre aux questions. On dirait que j'insiste pour faire partie de 20% de mécontents qui s'expriment !? "Je peux transmettre vos réponses à BT ?" Oui faites donc mais la dernière fois, ça n'a servit à rien. "Oui je sais" me répond-t-il. Ca donne le ton.

Mais "Ô" surprise. deux jours après, alors que je suis à la piscine, un appel en numéro caché. Je n'arrive que trop tard et lit le message. C'est une opératrice de chez BT qui m'appelle pour plus d'information sur mon problème. Elle rappellera le lendemain.
Le lendemain, le téléphone sonne toujours le numéro caché. Je suis en voiture et me dépêche de me garer pour décrocher. Mais trop tard. Le message me laisse sans voix. La dame me dit que comme je n'ai pas répondu (on est passé la mi-juillet) que je dois appeler le 614 sinon mon incident sera clos.
Comment ça le 614 ? Madame, je ne suis plus client. J'ai pris le temps de m'exprimer durant notre expérience commune à plusieurs reprises, après ma résiliation et maintenant on me redemande un nième fois de rappeler un service auquel je n'ai plus accès car je ne suis plus client ?

Travaillant à mon mémoire sur la relation et la fidélisation client, je prend le cas, et je le met dans la liste "A ne jamais faire si vous ne voulez pas passer pour des mauvais" avec le cas Chantal & Clinton.
Il est clair que la madame ne sait pas pourquoi elle appelle. Pire, on me fait perdre mon temps pour rien. La relation client est une chose fragile. Aujourd'hui, il devient difficile d'en faire abstraction. Elle a fait le succès de certains et a précipité leur chute après. Est-ce l'avenir de BT ?

mardi 17 juillet 2012

Aujourd'hui j'ai eu un iPad

Je viens d'avoir un IPad. D'un seul coup le monde change. Je vous passe sur le fait que d'avoir un iPad me rend potentiellement indisponible pour ma famille et mon entourage. Car la phase d'apprentissage et de découverte commence et avec son lot de question et d'étonnements. En fait, mon problème principale est que j'ai eu le bonheur d'utiliser auparavant un smart phone sous Android. Et là, tout change.
Tout est payant, aucune application ne communique aisément avec les autres sauf celles qui sont natives (comprenez installées par défaut), le multitâche et le multiecran ne sont pas des vrais. Bref, je suis tout de même dessus de la tablette sur certains points. L'autre point absolument négatif est le fait qu'à chaque fois qu'on installe une application, le store se ferme. Donc quand on réinstalle on passe son temps à ouvre l'app store.
J'aime cependant le design, la relative simplicité d'utilisation et la diversité des applications.
La chose qui m'étonne le plus est qu'Apple met réellement des bâtons dans les roues de ceux qui veulent proposer de réelles alternatives aux applications. Par exemple, l'app Chrome ne peut pas accéder au moteur de Javascript d'Apple.
Il me semble qu'en d'autres temps, une société avec des fenêtres s'est faite condamner à plusieurs reprises pour favoriser ses programmes sur ses OS. Autres temps ? Autres intérêts ?
Mais alors pourquoi avoir acheter cette tablette si maléfique ? Pour le produit qui est tout de même redoutablement fini, pour l'image que renvoi sa possession, et aussi parce qu'au moment de choisir, mais enfants se sont emparer dans le magasins des modèles d'exposition avec une extrême facilité. Et au final depuis que je l'ai, ils l'utilisent quasiment autant que moi. Donc ce choix était aussi pour eux car ils devront apprendre durant ces quelques années d'innocence à appréhender ces nouvelles technologies qui feront leur quotidien.

samedi 30 juin 2012

Pause estivale

C'est difficile de tenir un blog. C'est parfois décourageant et encourageant. Le premier commentaire qui arrive, le second qui se fait attendre, etc. Les critiques, la vie en générale, ma vie en particulier, rendent l'écriture difficile.
Aussi en attendant d'avoir plus de temps pour partager mes divagations, je laisse le blog en état pour les vacances.
Si vous souhaitez contribuer au blog à la rentrée, n'hésitez pas à me laisser un message en commentaire en mettant votre adresse email dans le champ prévu à cet effet. Je vous répondrai en privé.

Mais pour l'heure, c'est les vacances du blog, alors à bientôt



PS : Au passage, j'ai réservé mes vacances sur HomeRésa.com

jeudi 21 juin 2012

Satisfaction ou fidélité ?

Si la fidélité est liée à la satisfaction, est-ce qu'un client insatisfait ne peut pas être fidélisé ?

C'est une question de fin de soirée à la suite d'un salon récent dans l'open source.
Ma thèse est qu'un client fidèle est fidèle à une marque ou un produit pour une multitude de raison. Aussi un Apple fanboy peut être insatisfait du fonctionnement de son appareil ou de l'OS, mais rester fidèle à la marque pour des raisons extérieures.
Aussi une personne qui a un besoin d'appartenance et d'estime (merci Abraham Maslow), peut se reconnaître dans l'image véhiculée par la marque. Et ce même si un produit d'une autre marque satisfait le besoin fonctionnel du client.

Cette question a soulevé la question de la différence entre la satisfaction et la fidélité. Le débat est ouvert et vous pouvez contribué à la discussion en commentaire si vous le souhaitez.

jeudi 31 mai 2012

5 solutions CRM Open Source

Oui il faut y venir un jour.
Dans toute gestion de la relation client, l'automatisation ou simplement la constitution de la base de donnée client et prospect est une étape importante.

Cette automatisation peut prendre de nombreuses formes.
Vous pouvez décider de créer vous-même ce système en utilisant tous les outils à votre disposition. Avec un peu de logique et beaucoup de temps c'est tout à fait possible. Mais il vaut mieux mettre ce type de système en place dès la création de l'entreprise.

Le sujet qui m'occupe aujourd'hui est plutôt les systèmes déjà existant et open source. Pourquoi ? Parce qu'ils sont adaptable et à la portée de tous. Que leur coût d'acquisition est quasiment nul, mais on peut souscrire une offre pour l'hébergement et l'assistance.

1. vTiger (GNU GPL3)
C'est la solution que je connais le mieux car c'est celle que j'ai intégré il y a un an chez un client. C'est un logiciel un peu à part car le nombre de ressources est assez limité pour un logiciel de cette envergure. Issu à l'origine d'un fork de SugarCRM, elle est développée en PHP avec de l'AJAX et supporte les bases de données MySql et PostgreSql.
Par défaut, la solution comporte de nombreux modules. Mais la création de nouveaux modules est assez complexe. La communauté internationale et française est suffisamment développée pour vous aider dans la personnalisation. Mais dans ce cas, il faudra mettre les mains dans le cambouis comme on dit. Il est possible aussi de bénéficier d'un support.
Il a aussi des plugins intéressant avec Mozilla et la suite office, entre autres.

2. SugarCRM (GNU GPL3)
C'est certainement aujourd’hui un des leaders si ce n’est le leader des CRM open source. Fondée en 2004, cette société emploie aujourd’hui près de 100 personnes et possède un parc client de 12 000 entreprises dans le monde. SugarCRM est développé en PHP et s’appuie sur une base de données Mysql. Il profite donc d’une plate-forme largement déployée et facilement accessible. SugarCRM existe en tois versions : une Community Edition librement utilisable et deux versions payantes.

3. Hipergate (GNU GPL3)
C'est un logiciel collaboratif. Il est principalement orienté service client. C'est un logiciel assez complet développé en Java et supporte les bases MSql, MySql et Postgre Sql. J'en parle car on m'en a dit beaucoup de bien, même s'il y a quelques mois je ne le connaissais même pas.
Après quelques tests, on trouve pas mal de fonctionnalités comme un calendrier, les adresses des clients, un bloc notes, des forums, un détecteur de bugs, etc. Cette application permet aussi l'accès aux messageries en ligne, ce qui est plutôt pas mal pour travailler sur sa CRM efficacement.
La communauté est assez réduite et il y a malgré tout peu d'avis dessus.

6. Dolibarr (GNU GPL)
Mon premier amour (façon de parler).
C'est réellement une solution qui rentre dans deux catégories : les ERP et les CRM. Il fonctionne sur une plateforme type PHP-MySql sur un serveur Windows ou Linux.
Ses fonctionnalité sont nombreuses et la communauté très active. Cette solution a aussi un module de gestion d'une association ce qui est sympa.

5. CrèmeCRM
"Encore un nouveau CRM" comme ils le dise sur leur site.
"la modélisation utilisée dans tous les CRM existants est une modélisation centrée sur l'entreprise qui l'utilise. Dans un CRM classique vous pouvez donc gérer vos prospects, vos clients, vos fournisseurs. Parfois, si vous utilisez un CRM vraiment complet vous pouvez gérer vos concurrents et vos partenaires. Mais c'est tout." Ils défendent donc une approche plus orientée client.
CremeCRM a été écrit en Python avec le framework de développement Django Il peut être utiliser une base de données MySQL.
C'est la solution que je teste actuellement pour ma société. Etant au tout début, je ne peux pas encore prodiguer de conseil.


Ici je n'ai fait le point que sur 5 solutions qui sont pour moi les plus accessibles à chacun. Lors du choix d'une CRM, il faut prendre en compte toutes les solutions existantes, même les payantes. Car votre entreprise est unique, une solution mal considérée par le plus grand nombre pourrait bien se révéler comme étant LA solution pour votre entreprise.

Il ne faut pas oublier non plus que même si vous optez pour une solution open source et gratuite, il y aura toujours un coût. Le simple déploiement d'une solution de ce type est un exercice périlleux. Le développement de module peut l'être aussi. Si vous avez le temps et que vous êtes motivés, comptez un bon mois de déploiement et de paramétrage.

mardi 22 mai 2012

Forfait mobile : Quelle logique choisir ?

téléphone à cadran
C'était plus simple avant
Plutôt que de clarifier les choses, je trouve que l'arrivée de Free a complexifié les calculs.
Dans ce billets je ne tente pas d'influencer vers un opérateur ou un autre, mais je m'interroge simplement sur la validité des deux approchent principales que nous avons en face de nous aujourd'hui.

D'un côté, nous avons les nouveaux opérateurs du web. C'est opérateurs arrivent avec les forfaits très intéressants économiquement. Cependant, ils ne fournissent que le ligne (en gros). Pour ce qui concerne le téléphone, prenez l'ancien ou achetez-en un nouveau. Mais quand on prend un forfait tout inclus et "illimité" quel est l'intérêt d'avoir un téléphone sans Internet dessus (mais qui ne coute que quelques euros chez cet opérateur). C'est pourtant le coeur du problème ici. Si je prend un forfait avec Internet illimité, je veux pouvoir en profiter sinon j'ai un sentiment de frustration. Donc j'achète un téléphone à crédit. Mais le crédit ajouté à mon abonnement me rapproche fortement des montants d'abonnements des forfaits classiques.
La promesse est belle mais quid de la relation client ? Le client n'est plus considéré. Il faut qu'il se forme et qu'il soit co-producteur de son service. Il manage son abonnement, ses services, tout problème relatif à son équipement et son crédit à la consommation.

En opposition, le forfait classique. Le tout illimité arrivant, nous allons pouvoir bientôt vraiment comparer les offres. Si je prend l'offre de SFR par exemple, je vois que le tout compris est à partir de deux fois le prix de l'abonnement le moins cher de Free. Cette simple comparaison de prix est dissuasive, ne serait-ce que sur la perception. Il reste en tête que c'est deux fois plus cher. De plus le coût du mobile est difficile à identifier. Car c'est un fait. Même si on touche moins cher le mobile, son coût est reporté sur le forfait. C'est même un peu plus compliqué que ça, mais ce n'est pas le sujet du jour.
Ce prix renferme pourtant d'autres subtilité comme l'accès aux points de vente. Cette différence peut donc être perçu comme normale. Le prix du matériel est lui moins important en acquisition direct mais pas forcément sur le long terme. La différenciation est donc bien à faire sur le prix pour trouver celui qui est le moins choquant dans l'esprit des consommateurs mais aussi celui amenant la meilleure marge possible.
Ces forfaits n'empêche cependant pas le client de co-produire mais dans une dimension beaucoup plus faible.

La guerre de prix est donc bien réelle. Et il ne faut pas que ce soit le consommateur qui en pâtisse. Le consommateur est logique. Il va où est son intérêt mais une guerre des prix peut faire disparaître le service joint actuellement avec nos abonnements. Pire cette disparition pourrait être masquée par des services+ tel que la TV illimitée ou d'autres choses dans ce genre.

jeudi 17 mai 2012

Aujourd'hui, j'ai trouver des idées d'article

Je ne suis pas un grand blogueur et je ne passe pas mon temps à rédiger des articles. Je ne cherche pas non plus, mais pourtant, on arrête pas de me dire et si tu parlais de ça, et si tu faisais ça...
Mais derrière ces conseils avisés, ces personnes qui sont aussi des blogueurs cherchent pour eux-même des sujet de dissertation.

Alors comment trouver un bon sujet ?

1- Utiliser l'actualité

L'actualité fourmille de sujet. C'est une source intarissable. Par exemple, pour un blog de marketing, les élections présidentielles françaises sont un bon sujet car les candidats "markettent" complètement leur image.

2- Faire un classement

C'est un moyen de faire découvrir des éléments que vos internautes n'ont jamais vu.
On peut faire des classements sur tout, mais il ne faut pas en abuser. C'est aussi typiquement le type d'article qu'on peut faire "hors saison". Je veux dire par là que si on a un blog qu'on tient en rapport avec une actualité ou une saisonnalité, les classements sont un moyen simple de faire une actualité sur le blog. J'en ferai prochainement un sur ce blog.

3- Réutiliser les commentaires

Un commentaire houleux peut-être l'occasion de faire tout un nouveau billet qui fera référence à ces commentaires.

4- Changer le support de communication

Vous écrivez vos articles, j'en suis fort aise. Et bien enregistrez les maintenant.
Et pourquoi pas créer un article audio et vidéo et expliquer comment il a été monté ou pourquoi le sujet que vous traitez doit être audible et/ou visible...

5- Faire une chronique

Faire une chronique, c'est avant tout raconter une histoire.

Quel est finalement le but de tout ça ? C'est vous rappeler que pour bloguer, il faut avoir quelque chose à dire. Et on a tous quelque chose à dire, mais il ne faut pas se forcer car quand on se force, on reste dans un registre, on perd la créativité et l'inspiration.

lundi 7 mai 2012

Est-ce un système pyramidal ?

Oui la frontière entre le marketing relationnel et le recrutement pyramidal semble mince quand c'est mal expliqué.
J'ai trouvé la vidéo ci-dessous que je trouve particulièrement mal faite :


Ici on peut se demander se qu'à voulu faire la société en question. La vidéo est audacieuse mais son contenu ne vaut pas les cinq minutes qu'elle affiche.

Plus que jamais, faites attention au contenu que vous partagez.

jeudi 19 avril 2012

Le marketing 3.0

Le marketing 3.0 est un terme qui s'étend de plus en plus dans les conversations.

Loin d'être un terme nouveau, il cache des notions actuelles et masque les prochaines évolutions du marketing direct. Il est encore très orienté vers le consommateur final (B2C).

Le passage du marketing traditionnel au marketing 2.0 a imposé aux sociétés et aux individus de communiquer en multi canal. Cette transformation a favorisé le dialogue avec le consommateur et surtout entre consommateur. Le consommateur prend la parole et obtient un moyen d'expression semblable aux marques.
L'arrivée du 3.0 est donc une suite logique. En fait ce n'est pas totalement une suite, mais plutôt une évolution. Car le 2.0 n'a pas réellement encore fini sa révolution.

Le marketing 3.0 vient définir de nouveaux concepts et est fortement soutenu par la technologie. l'hyperpersonnalisation est pour moi le maître mot de ce nouveau marketing.
Bien que le consommateur soit dans la masse, on va le segmenter de manière toujours plus fine. On le détecte, on le connait, on le spécialise. Car le marketing dispose des outils pour faire ça, mais pas toujours des bons acteurs.
Rien qu'en France, 50% de la population est équipée d'un smartphone. La géolocalisation permet à une enseigne de détecter les lieux d'achats ainsi que les lieux de vie du consommateur. Pourtant, on ne le fait pas.
Il ne s'agit pas d'une intrusion dans la vie du consommateur. Car ce dernier est d'accord pour nous donner toutes ces informations, car ça lui apporte quelque chose au final. Il a l'impression d'être unique car on s'adresse à lui, on s'intéresse à ses besoins et ses désirs.

Dans le 3.0, on est aussi connecté en permanence. Il n'y a plus de dichotomie entre le offline et le online. Et ce grâce aux smartphones, mais aussi à la TV connecté, aux tablettes, aux bornes dans les magasins ou les restaurants. Nous vivons connecté et nous cherchons des informations en temps réel tandis que nous en fournissons aussi.

La parole est à l'internaute. Mais il est perdu, on ne lui a jamais laissé le soin de s'exprimer correctement. Par le passé, il l'a surtout fait pour exprimer son mécontentement. Maintenant, il peut recommander, suggérer émettre un avis modéré... Mais se méfiant de la communication des marques, le consommateur cherche des experts. C'est là qu'entrent en lice les blogs experts ou les statuts "experts" sur les forums. Ils sont des repères et fournissent des conseils ou des éditoriaux pertinents. Mais ils sont de plus en plus sollicités par la publicité et risque de perdre petits à petits leur crédit.

Ce billet est un peu plus long que d'habitude et ce n'est pas forcément exprès. Je finirais en disant donc que le marketing 3.0 considère le consommateur de manière plus global, dans un ensemble, avec toutes ses émotions et son caractère.

La question que je me pose est maintenant de savoir ce qui viendra après...

mardi 3 avril 2012

Aujourd'hui j'ai visité Nexity.fr

Le 18 janvier, Nexity a exécuté son rebranding suite notamment à l'absorption des marques de Lamy. Il m'aura fallu pas mal de temps avant d'y aller, c'est vrai.

A la fois gris et plein de petites couleurs, le site tranche avec ce qui était fait précédemment. On y apprend ce qu'on savait déjà mais le coup de pinceau est là.

Personnellement, je trouve ça un peu austère. Les pointes de couleurs sont bien présente mais tout est un peu brouillon. On se retrouve sur des pages d'une extrême longueur, un foisonnement d'information et je m'y sens un peu perdu.
On est parfois même obligé de fouiller pour trouver un métier comme la location de vacances. Ha ? Vous ne saviez pas que ça fait parti de leurs métiers ? Et bien il semble qu'il le cache car il faut aller sur cette page pour le voir http://www.nexity.fr/immobilier/particuliers/louer/trouver-un-bien-a-louer/location-saisonniere.

J'avoue être un peu mitiger. Il semble que ce soit pourtant une grosse agence de communication qui ait mené cette campagne. Si vous me lisez, ou une personne de Nexity, n'hésitez pas à intervenir car je suis curieux de savoir comment on mène une campagne de cette envergure, quelles sont les embuches rencontrées...

samedi 17 mars 2012

Aujourd'hui j'ai pas fait ma cover Facebook

Au mon dieu, Oh my god... dans deux semaines Facebook oblige toute société à passer sur le nouveau format de page. Mais qu'est-ce que ça change ?

En fait beaucoup de chose.Premièrement, vous devait créer une image de couverture au format: 851×315 pixels.C'est l'image qui sera en haut et visible par tout le monde pour présenter l'entreprise, l'asso... Il faut y ajouter la miniature qui est un carré de 180×180 pixels. De quoi mettre votre logo... en principe.

Mais attention, les couvertures Facebook ne doivent pas contenir:

- de prix, de promos, de remise...
- de coordonnées, d'adresse email ou web…
- d'incitation à liker ou à faire venir du monde sur la page,
- d'incitation à l’action: téléchargez, parlez-en...

Donc en gros, il est moins intéressant pour une entreprise d'être présent sur Facebook.

Malheureusement, je n'ai pas commencé la mienne. Mais comment vais-je faire ? Après quelques recherches, voici l'outil que je vais employé après avoir fait développer mes images : http://timelinecoverbanner.com/

Enespérant vous avoir été utile.

lundi 12 mars 2012

Le brainstorming


Quand j'ai commencé à travailler dans la vrai vie, j'avais des gens importants (du moins qui prétendaient l'être) utiliser des mots à tout va, vachement impressionnant.

Brainstorming était ma bête noire. Le sens propre semblait bien collé aux personnages. Ils se posaient beaucoup de questions sur eux-mêmes et faisaient vraiment peur quand on les voyait. Mais de quoi parlait-il. Est-ce que l'évocation de ce mot signifiait qu'ils souhaitaient s'aérer l'esprit, ou qu'ils étaient des cerveaux tourmentés ?

Non. Ce n'était qu'un mot pour dire qu'ils réfléchissaient à plusieurs sur le même sujet. Et oui ce n'est que ça. Mais cette action se passe 15 ans en arrière. Et à l'époque, on faisait beaucoup de chose parce qu'on en avait entendu parlé. Le brainstorming se répandait, mais ses disciples en faisait n'importe quoi...

Les mentalités et les pratiques ont bien changé depuis. La brainstorming est bien utilisé comme un outil de créativité et de réflexion. On le mêle à d'autres outils comme les arbres de décision afin d'aboutir à des plannings, des concepts, des campagnes de communication.

Aujourd'hui on a des outils 2.0. "OMG ! It's amazing" Oui nos esprits collabore via une plateforme collaborative. Prenons par exemple GroupZap (pas de lien c'est normal, c'est pas de la pub ;-) )

On avance alors.

vendredi 9 mars 2012

L'arbre de questionnement

Aujourd'hui redécouverte pour moi des principes fondamentaux de l'arbre de questionnement. J'ai fait part à un amis qui me demande ce que c'est.
"Comment ? " lui répondis-je "Tu fais du conseil et tu ne connais pas l'arbre de questionnement ? C'est une méthode très simple. Mais je vais devoir te facturer la presta si tu veux en savoir plus."

Comme il n'a pas voulu payer et qu'il lit le blog, je ne vais pas faire un cours sur la méthode. Cependant, c'est un outil très utile d'aide à la décision et d'organisation d'idée. C'est aussi un outil qui fait appel à d'autres outils comme le brainstorming.

Ça met l'eau à la bouche ? Bon OK je vais vous en lâcher quelques mots.

Comme je l'ai écrit, il s'agit d'organiser des idées. On va créer une hiérarchie dans les idées. Mais avant tout, il faut poser les idées existantes à plat. Ensuite les idées sont hiérarchisées de manières à se que chaque idée s'organise de manière logique.
Le but n'est pas d'aboutir directement à une décision mais d'aider à voir les idées émanant d'une question en partant du général pour aller au plus fin (ou inversement).

Plus d'info ? Un petit commentaire ou une visite sur Googl  ;-)

jeudi 8 mars 2012

N'allons pas tous au Restos !

Malheureusement de plus en plus de personnes restent sur le trottoir de notre société.

Ce n'est pas notre pays le problème car où qu'on aille dans le monde, c'est toujours la même chose.
Mais ici, nous avons la possibilité d'agir avec les Restos du Coeur. Alors en attendant que nous trouvions  une méthode de vider les "Restos", permettons à ceux qui s'y rendent de bien manger.

Participez à la grande collecte alimentaire faite avec le partenariat Carrefour et Danone les 9 et 10 mars 2012.



Et n'oubliez pas, ce sont eux qui comptent sur vous

mercredi 7 mars 2012

Il faut savoir se tenir

On ne le dira jamais assez, il faut rester maître de soi en toute circonstance. Je l'ai oublié, je le paierai...

En effet, je déjeune aujourd'hui avec un client afin de voir avec lui les futurs projets qui l'occupe. Au fil de la conversation et du repas, il m'explique qu'il a un projet en cours proche de ce que je fais et qu'il aimerait des conseils. Nous discutons en l'air et tout va bien.
La fin du repas approche et je vois, entre les bouteilles que nous avons descendu que mon client note quelques idées... Mince, je lui ai donné un modèle économique que j'ai mis deux mois à élaborer. Malgré ses recherches me dit-il, il n'a rien trouvé d'aussi novateur sur le secteur et va voir à l'intégrer à son projet.

Je ne suis pas trop à l'aise et je me dis alors que je vais devoir activer pour mon cahier des charges afin d'être le premier lancé.
C'est précisément ce moment que choisi mon client pour me dire que son projet est en phase de réalisation...
6 mois de boulot à la poubelle.

L'alcool nous déride et habituellement je fais extrêmement attention à ça (même dans les soirées organisées dans le cadre de salon), mais là, je me suis fait berné comme un bleu.

PS: Au final, il me fait comprendre qu'il a intérêt à m'intégrer à son projet au vue de mes idées.

lundi 27 février 2012

Aujourd'hui j'ai tweeté !

C'est la réflexion que je me suis fait lorsque que j'ai posté mon X tweet à l'instant : "aujourd'hui, j'ai tweeté !"

Mon activité sur ce réseau social est pour le moins réduit. Mais parfois, sans que je comprenne des gens viennent me lire et devenir mes followers.  "Wahou !!!" un de plus. Mais est-ce que Twitter me sert réellement à quelque chose ? Moi qui aime verrouiller mes réseaux pour que seuls ceux que je veux puissent me lire ?

Même en temps que personne, je dois travailler et "markéter" mon identité numérique. Et le but de Twitter est bien de laisser des followers venir à vous. Je ne peux donc pas publier n'importe quoi sur un compte aussi ouvert. Et on l'oublie souvent, nous markétons nos vies pour qu'elles paraissent plus vendable à notre entourage.


"Tiens j'ai besoin d'un prêt pour m'acheter un tablette dernier cri full option..." Je vais voir mon banquier qui regarde avec moi les "possibilités" de financement. En fait, il scrute ma vie et va me poser des questions. Je peux alors lui raconter ce que je veux. Je vais lui vendre mon avenir en lui expliquant que je dois investir dans du matériel informatique car je suis étudiant, par exemple. Je lui package ce que je vais faire de cette argent, de la même manière que je vais la packager à ceux qui ne comprendront pas ce besoin de geek.


Aujourd'hui, j'ai tweeté et ça m'a permis de faire un billet qui générera un tweet.

jeudi 16 février 2012

WTFB ?

On va commencer par me présenter, on verra la suite après.
TrisKey, c'est un blog, moi, je suis une personne. Je m'appelle Renaud et je suis très sensible au marketing.

C'est pourquoi, ici, je ne parlerai que de marketing, et sous toutes ses formes car c'est dans la diversité qu'on avance.

Je conclu ce mini-billet sur ma phrase préférée : " Stay open !"